bagues pour électronique

Je comprend pas, j'avais posté une réponse "gratin" et là ... plus rien !

Enfin .. allez c repartit !

En France, la fédération oblige aux fabricants de fournir gratuitement un système d'enlogement/dépouillement. De la sorte, Bricon offre aux sociétés Francaises des antennes d'enlogement. Il s'agit d'une antenne style sabot avec un trou où l'on passe la patte du pigeon. Depuis cette année, Bricon propose également le clubmaster et comme comme en Belgique cela demande un coüt financier. En Belgique, le clubmaster est proposé en location en France il est n'est disponible qu'a la vente. Cela est un réel avantage car cela évite aux amateurs Francais de devoir entrer dans l'appareil leur plan de vol chaque année. Un réel casse-tête pour ceux-ci qui doivent prendre en compte, les concours proposés par chaques sociétés. Ainsi, grace au clubmaster, les amateurs, tout comme en Belgique, encodent leurs pigeons dans l'appareil et le club quant à lui entre ses concours dans son clubmaster. Gros avantage également, la mise à jour des appareils amateurs à la société via le clubmaster, chose qui avant devait nécessiter l'intervention d'un technicien.

Pour ce qui est appareils amateurs Francais, comme pour ceux de tout autres Pays, seul la version du logiciel change. Les antennes et les bagues sont quant à elles identhiques.

Voila voila !

Je comprend pas, j'avais posté une réponse "gratin" et là ... plus rien !

Le Forum à Boogué la nuit passée ou ce matin

Fabrice Carlier a écrit:Je comprend pas, j'avais posté une réponse "gratin" et là ... plus rien !

Le Forum à Boogué la nuit passée ou ce matin

retenez le conseil fait à Freddy........copier/coller

dommage pour Laurent....avait passé du temps pour mettre sa Photo.......
!!!pas la sienne..celle du matos !!!

Je l'ai vu hier soir c'est ce même sabot que j'ai eu en premier (il y a dix ans) avec ce sabot on m'avait founi un boitier avec toutes les fonctions qu'on retrouve sur les nouveaux club maesters (assez compliqué à raccorder) mais je l'ai gardé pendant huit ans car je m'en trouvais bien.